Alors que la sélection de Côte d'Ivoire s'apprête à disputer son 2è match du tournoi continental, face au Nigeria, une rencontre déterminante pour sa qualification au second tour de la compétition continentale, les "ennemis" des dirigeants du sport roi veulent créer un faux problème de billetterie. 

Et laissent croire que c'est la FIF qui en est responsable. 

Et pourtant, l'épreuve reine du football africain, la CAN, est une propriété exclusive de la CAF. 

Par conséquent, l'institution basée au Caire, la capitale égyptienne, seule, à le contrôle de la fabrication et de la vente des billets de ce tournoi qui lui appartient. C'est pour cette raison que l'institution dirigée par Patrice Motsepe, pour ceux qui ne le savaient pas, a lancé un appel d'offres et a retenu un fournisseur de solutions, un opérateur, qui a mis en place un logiciel pour la billetterie de la 34è édition de la CAN qui se déroule en Côte d'Ivoire. C'est le système mis en place par le fournisseur de solutions qui était saturé parce que les achats des billets des rencontres des matches du tournoi continental se faisaient, pour la majorité des cas, à la dernière minute et au même moment. Cela avait pour conséquence d'alourdir ce système. Il faut noter que seul l'opérateur, choisi par la CAF, qui valide les achats des billets. 

Pour rappel, l'organe de gestion du ballon rond local, la Fédération de football, ne pilote rien en ce qui concerne la billetterie de la CAN 2023. Elle accompagne la CAF et le COCAN dans les réflexions et les mises en œuvre de leurs activités.